On aime bien savoir ce que nos clients pensent de nous. Pour de vrai. Alors pour éviter la langue de bois et les silences gênés, on leur a envoyé notre ami Romain Pittet. Aujourd’hui, il a rencontré Sébastien Dufaux, le CEO de ello Communications.
Depuis quand connaissez-vous Plachta & Fischer?
On est en contact avec eux depuis le début de leur activité. Mais à vrai dire, on les connaissait déjà avant! Je collabore avec Caroline depuis 4 ou 5 ans, je l’ai rencontrée à l’époque où elle travaillait pour Suissedigital, l’association suisse des réseaux de communication dont je siège au comité. On connaissait aussi Cédric à travers d’autres activités. En fait, c’est quand ils se sont associés qu’on a réalisé qu’ils étaient amis.
En 2020, j’ai mandaté Caroline pour des tâches en lien avec notre rebranding, notamment pour les aspects concernant la marque employeur. Aujourd’hui, Plachta & Fischer ont la responsabilité du développement de notre stratégie B2B, c’est-à-dire la clientèle des entreprises. Ils s’occupent de la stratégie de communication, ainsi que des campagnes réseaux sociaux et mailing.
Comment se passe la collaboration avec Plachta & Fischer?
On apprécie beaucoup de travailler avec eux car ils sont très complémentaires, que ce soit sur le style personnel ou l’approche. Ça leur permet d’apporter des regards différents sur une situation. Et avec leur esprit d’analyse très rapide, on gagne énormément de temps.
Prenons l’exemple du B2B. Même si c’est un domaine très technique, on n’a pas eu besoin de multiplier les briefings pour qu’ils comprennent les enjeux et les points-clés. Les premières discussions ont été rapides et la première proposition était déjà bien ciblée.
Un autre point appréciable: ils proposent toujours plusieurs pistes, et sont même ouverts à les combiner. On ne se sent jamais enfermés dans une recommandation unique ou dans des approches trop rigides. C’est toujours bien personnalisé.
Le périmètre de leur travail et flexible, ils s’adaptent à nos besoins et à notre contexte. Ils offrent du sur-mesure, c’est très précieux.
Avez-vous une anecdote?
C’est quand Caroline et Cédric ont commencé à travailler sur le mandat B2B, au début 2022.A chaque fois qu’on se voyait, on leur raccourcissait les délais, parce qu’on était liés au salon de l’immobilier. Et bien malgré tout, ils ont réussi à faire le nécessaire. Ils sont souples et font vraiment tout pour satisfaire le client, tout en nous disant clairement que ça n’était pas facile. Il y a toujours une grande transparence et une franchise très appréciable dans les échanges.
Qu’est-ce que Plachta & Fischer ont mijoté pour vous par exemple?
Ils ont proposé une campagne B2B qui est extrêmement originale. Je dis à qui veut l’entendre que Caroline est l’une des meilleures plumes du canton. Elle va sûrement m’en vouloir, parce qu’elle n’aime pas voir son rôle limité à celui d’une rédactrice.
Mais c’est ce qui me fait dire que Plachta & Fischer sont les seuls à être capables de faire une telle campagne, car ça demande un mix de qualités d’écriture, de compréhension du domaine et de connaissances de l’histoire de la publicité. L’exécution a été complexe et a suscité l’attention.
Parlez-nous des résultats concrets obtenus par Plachta & Fischer.
Le travail effectué sur la marque employeur nous a valu une très belle notoriété. D’abord comme une entreprise attractive, mais notre visibilité s’est étendue et concerne désormais la société dans son ensemble.
Depuis ces démarches, on met beaucoup d’importance sur le fait de recruter des personnes qui sont alignées avec notre culture. Et ça fonctionne!
Est-ce qu’il vous est arrivé d’être surpris par Plachta & Fischer?
Oui, par exemple quand ils nous ont annoncé leur association! Je les connaissais séparément et je dois avouer que ça ne me serait jamais venu à l’idée. Mais leur complémentarité est une vraie force, elle leur offre une richesse d’attitude. On pense souvent que dans une entreprise, il faut des gens qui se ressemblent. C’est plus facile bien sûr, mais ça réduit la vision.
Une autre chose, c’est leur franchise. Au départ, c’est surprenant. Mais c’est indispensable pour avancer dans les projets. Par exemple dans les démarches liées à la marque employeur, Caroline a su mettre les gens devant leurs contradictions. Ça permet d’aborder des problèmes dont on a conscience mais que l’on ne veut pas aborder.
Qu’est-ce qui vous déplaît avec Plachta & Fischer?
Leur succès! On est très contents pour eux et on trouve que c’est mérité… mais on a un peu peur qu’à l’avenir ils aient moins de temps pour leurs clients des débuts!
tapoté avec soin par Romain Pittet
Découvrir la campagne B2B « Il est difficile de croire… » – sound on!